La société de consommation dans laquelle nous vivons, nous soumet tous les jours à des dizaines de publicités en tous genres.
Sur le chemin de l’école, pour aller au travail, pendant la promenade du chien, en fait à la moindre sortie il est presque obligatoire de croiser l’un ou l’autre de ces stimuli visuels que ce soit sous forme de panneaux, d’enseignes, de flyers, de publicités à la radio ou autres.
Alors quand une entreprise décide d’utiliser dans sa stratégie marketing, une campagne regroupant les objets publicitaires parmi d’autres procédés, elle doit en étudier l’impact avant toute chose.
En fin d’année, l’entreprise qui décide de récompenser ses employés, de fidéliser sa clientèle ou d’organiser une grande campagne de promotion va d’abord étudier sa cible, à qui souhaite elle s’adresser ?
Viendra ensuite l’étude du secteur d’application, si l’entreprise fait partie de l’industrie des loisirs, elle choisira un objet en conséquence (des chaussettes par exemple) et pourra décider de les offrir lors d’un championnat de tennis ou de moto.
L’impact visuel de sa campagne publicitaire
Enfin elle s’occupera de l’impact visuel de sa campagne publicitaire.
Le but premier d’un objet publicitaire, outre le fait qu’il puisse faire plaisir à la personne qui le reçoit, est de marquer les esprits, d’être utilisé, d’être vu, de se rendre indispensable.
Il sera donc impératif que cet objet, qu’il soit un stylo, une paire de chaussettes, un tapis de souris ou une clef USB, soit vu tout au moins régulièrement. L’impact visuel qu’il aura sur les personnes cibles sera déterminé par la fréquence à laquelle ces dernières verront l’objet.
Il est conseillé d’avoir un logo identifiable, un slogan court et d’utiliser un objet courant dont les clients à qui il s’adresse ont déjà besoin. Le tapis de souris ou le stylo, pour les personnels des bureaux, sont des objets particulièrement adaptés. L’impact visuel est au départ, conscient puis si le slogan en lui même n’est pas relu tous les matins, il finit par s’imprimer de façon inconsciente dans les souvenirs.
On peut alors dire que l’impact visuel de la campagne est réussi.